I)
Présentation matérielle de la nouvelle
A/ L’Auteur
« Nom de plume » est une nouvelle écrite par l’écrivaine québécoise ‘Micheline la France’.
Micheline La France est née à Montréal, le 18 décembre 1944. Après avoir
pratiqué le métier de comédienne jusqu'en 1973, ses activités
professionnelles se concentrent sur la littérature.
Micheline La France est membre de l'Union des écrivains québécois.
On peut annoncer parmi ses œuvres :
- Bleue (1985)
- Denise Pelletier, ou la folle du théâtre (1979)
- Le don d’Auguste (2002)
- Le fils d’Ariane (1996)
- Le soleil des hommes (1980)
- Tâche d’or au fond de l’œil (2006)
- Vol de vie (1992)
B/ l’Œuvre
La nouvelle ‘Nom de plume’ est prise du livre «Vol de vie »
- Ce livre (vol de vie) est l’un des ouvrages écrits par Micheline la France en 1992.
- Il a été imprimé à Montréal par la maison d’édition « L’Hexagone »
- Cette Œuvre appartient à la collection ‘fiction’
- C’est un bouquin de 101 pages
C/ Le Titre
Nom de plume :
- pseudonyme adopté par un auteur. Un nom de plume peut être utilisé
pour rendre le nom de l'auteur plus distinctif ou pour éviter les
poursuites lors des guerres ou des révolutions. Le nom de l’auteur peut
être connu seulement par l’éditeur.
Nombre d'écrivains ont choisi de signer leurs œuvres d'un nom de plume :
- Jean Bruller avait pris le nom de Vercors aux Éditions de Minuit
pendant la seconde guerre mondiale, tout comme François Mauriac qui,
chez le même éditeur publiait sous le nom de : Forez.
- Les écrivains résistants avaient tous des noms de région de France comme nom de plume.
- Honoré de Balzac signait avec l'anagramme de son nom : Lord R'Hoone,
(anagramme d'Honoré) pour certaines œuvres de jeunesse, son nom
d'origine (Balzac) a été modifié en De Balzac deux ans après la mort de
son père.
- Gérard de Nerval était le nom de plume adopté par Gérard Labrunie en 1830.
- L’américain René Brabazon Raymond n'était autre que l'anglais James
Hadley Chase qui écrivait ses romans avec un dictionnaire d'argot
américain.
- Mark Twain est le nom de plume de Samuel Langhorne Clemens.
- Le nom réel du célèbre poète chilien Pablo Neruda est « Neftalí Ricardo Reyes Basoalto » .
- Alekseï Maksimovitch Pechkov n’est que le nom réel du fameux écrivain russe soviétique connu Maxime Gorki.
- Le romancier français « Marie-Henri Beyle »( auteur de LE ROUGE ET LE NOIR)est dit « Stendhal ».
- Jean-Baptiste Poquelin n’était autre que Molière.
II)
Présentation structurelle de la nouvelle
A/ Le Cadre
1. Cadre spatio-temporel
a- Cadre spatial
- Le cadre spatial de cette nouvelle est bien
précis.
- Dans cet ouvrage, il y a plus qu’un seul cadre spatial
- On a situé des noms propres (des noms de villes), par exemple : Montréal et New York.
- On a situé aussi d’autres cadres plus
précis comme : le bureau de travail de Jules Montblanc, la maison d’édition, le café « Old Harry’s »…
b- Cadre temporel
- Dans cet œuvre, les événements sont situés dans plusieurs cadres
temporels ( Un matin, un soir, les premières semaines, un jour, les
jours suivants, quelques jours plus tard, en septembre, dès le 2
Octobre, quelques semaines plus tard, au procès, un jour de visite…)
- Quelques expressions signifient des temps bien exacts et
précis ( les premières semaines, les jours suivant, en septembre, dès le 2 octobre, au procès, un jour de visite…)
- D’autres ne sont pas aussi clairs ( un matin, un soir, un jour, quelques jours plus tard, quelques semaines plus tard..)
- L’expression « une petite neige commençait à couvrir les rues »
indique que le jour où Jules est allé à la maison d’édition est un jour
hivernal.
2. Les personnages
a- personnages principaux
Jules Montblanc - personnage central de la nouvelle
- il a fait la majorité des actions
- il est l’axe des événements principaux de la nouvelle
- ses interventions sont spontanées et non planifiées
- on lui a volé le nom et l’identité
Joël Cambus - il a des interventions importantes dans la nouvelle
- il est le seul qui a cru Montblanc
- ses interventions sont bien planifiées
- il est l’un des amis de Jules Montblanc
- Il est l’auteur réel des deux romans
b- personnages secondaires
Chantal - femme de Jules Montblanc
- c’est elle qui a découvert la publication du premier roman.
l’éditeur du roman - Il ignore lui aussi que ce n’est pas Jules l’auteur du roman
Old Harry - Il est d’origine québécoise
- Un nouvel ami de Jules
- Il a raconté son histoire à Jules Montblanc
c- Personnages décoratifs
- Les collègues de bureau de Jules
- Les clients au café de Old Harry
B/ Les Trois Situations Du Récit
1. Situation initiale
Du début (ligne1) jusqu’à « En vain » (ligne49)
- Jules Montblanc mène une vie monotone avec sa femme Chantal
- Chantal apprend à son mari que les journaux viennent d’annoncer la
publication d’un roman intitulé L’Univers Piégé signé par Jules
Montblanc
- Jules Montblanc nie être l’auteur de l’Univers Piégé mais personne ne le croit
- Jules Montblanc remet sa démission puis s’enferme chez lui.
2. Situation intermédiaire
De « pas un jour ne se passa » (ligne50) jusqu’à « dans le découragement » (ligne325)
- Le narrateur reçoit la visite de son ami Joël Cambus, qui lui suggère
d’aller discuter de la publication du livre avec l’éditeur.
- L’éditeur explique à Jules comment il a reçu le manuscrit du roman et a pu avoir tous les renseignements concernant l’auteur.
- Jules Montblanc reçoit de l’argent de l’éditeur.
- Jules Montblanc revoit Joël Cambus. Celui-ci lui suggère de profiter
de l’argent qu’il a reçu pour s’éloigner un peu de Montréal.
- Le narrateur s’offre des vacances à New York avec sa femme et prend l’habitude d’aller quotidiennement au café du vieux Harry.
- Le vieux Harry raconte sa vie au narrateur.
- Joël Cambus rend visite au narrateur et lui conseille de prolonger ses vacances à New York.
- Jules Montblanc et sa femme Chantal rentrent à Montréal.
- Le narrateur apprend qu’on vient de publier un nouveau roman intitulé Old Harry signé par Jules Montblanc.
- Les journaux annoncent qu’on vient de trouver le vieux Harry tué de deux balles dans la tête comme annoncé dans le roman.
3. Situation finale
De « Bien entendu » (ligne326) jusqu’à la fin
- Jules Montblanc est condamné à vingt-cinq ans de prison ferme pour le meurtre de Harry Young, alias Henri le jeune.
- Joël Cambus rend visite à Jules Montblanc en prison. Il explique à ce
dernier que c’est lui-même qui est responsable de tout ce qui est
arrivé.
III) Champs lexicaux de la nouvelle
A/ Champs lexical de la modestie
Jamais je n’ai rêvé d’être célèbre, un homme discret, laisser choir ma
vie dans les moiteurs de la foule anonyme, ce rien que je suis,
monotone, se promener sans but, lire des journaux toujours dans le même
café, timide, je ne suis pas curieux de nature, la médiocrité,
l’habitude…
B/ Champs lexical de l’écriture
Histoire, le journal, écrit, un roman, livre, article, l’ouvrage, lire,
l’auteur, le romancier, le narrateur, journalistes, l’éditeur, le
best-seller, un grand talent littéraire, la maison d’édition,
manuscrit, bouquin, publier, droits d’auteur, une plume à la main, nom
de plume…
C/ Champs lexical de crime
Vengeance, détruire ma vie, tordre le cou, la police, le procès, la justice, condamné, détention ferme, meurtre, piéger…
IV) La nouvelle, le conte, et le roman
A/ La Nouvelle
1. Définition
Une nouvelle est un récit fictif, qui peut de ce fait être publié
aussi bien dans les journaux qu'en recueil. Ce genre littéraire apparu à
la fin du Moyen Âge, était alors proche du roman, et, d'inspiration
réaliste, se distinguait peu du conte.
C’est un récit centré sur un seul événement simple et bref, raconté par
un témoin. L'histoire est conçue en fonction du dénouement, le style est
de************************************************if et objectif.
Nouvelle se dit aussi du Récit d'une aventure romanesque ou
psychologique. L'usage actuel est de donner plus particulièrement ce nom
à un Récit d'une longueur moindre que celle d'un roman.
2. Histoire
La nouvelle naît en France à la fin du Moyen Âge. Les nouvelles
étaient d'abord de petites histoires anonymes distribuées gratuitement
dans la rue.
Mais c’est le XVIe siècle qui voit le véritable essor du genre. En 1558,
avec L'Heptaméron, Marguerite de Navarre donne au genre ses premières
lettres de noblesse : dans ce recueil inachevé de 72 récits, voisinant
avec les récits licencieux hérités des fabliaux, on trouve des histoires
plus graves, où l’anecdote laisse en partie la place à l’analyse
psychologique.
3. Caractéristiques
- La nouvelle se distingue du conte par son contenu. Elle se distingue
du roman par sa brièveté (rarement plus de 100 pages) et par la densité
du vocabulaire employé (pas de longue
de************************************************ion, que l'essentiel).
Vers 1350, Boccace, écrivain italien, écrit une série de nouvelles dans "Le décameron".
- Une nouvelle possède plusieurs caractéristiques qui poussent à sa brièveté.
• Contrairement au roman, elle est centrée sur un seul événement.
Le cadre est
précis
Les événements sont vraisemblables
Les personnages sont peu nombreux et sont moins développés que dans le roman.
La fin est souvent ouverte et inattendue, et prend la forme d'une « chute » parfois longue de quelques lignes seulement.
4. Quelques noms de nouvellistes (écrivains de nouvelles)
Jean de la Fontaine
Honoré de Balzac (1799-1850).
Gérard de Nerval (1808-1855)
Guy de Maupassant (auteur du plus grand nombre de nouvelles au XIXe siècle, 1850-1893)
Eric-Emmanuel Schmitt (1960-)
Ferenc Rákóczy (suisse, 1967-)
B / Le Conte
1. Définition
Le conte est un récit imaginaire de fiction généralement assez bref,
fantastique, souvent empreint de magie et destiné à divertir.
Le conte relate au passé les actions, les épreuves, les péripéties
vécues par un personnage, l'histoire racontée se déroule dans un autre
temps (la narration se fait toujours au passé) et un autre lieu que ceux
où prennent place le conteur et le destinataire. Les célèbres formules
comme "Il était une fois" ou "En ce temps-là" qui ouvrent un grand
nombre de contes suggèrent d'entrée de jeu la distance qui sépare
l'univers du conte et notre monde, la fiction et le réel.
2. Histoire
Le conte existe depuis sûrement aussi longtemps que la pensée
imaginaire de l’homme. L'homme a toujours aimé les récits merveilleux
et extraordinaires. Il s'est d'abord plu à écouter les épopées (contes
héroïques) ; puis au fur et à mesure que l'esprit s'affina, le conteur
prit pour objet de ses récits les événements de la vie réelle, qu'il
transformait au gré de sa fantaisie, soit en leur donnant la couleur du
merveilleux, soit en les
présentant sous une forme satirique, soit encore en recueillant les traditions populaires.
3. Caractéristiques
Par opposition à la légende qui est un récit de croyance, le conte, lui, n’a comme seul but que le divertissement
Nous retrouvons des personnages ou plutôt des types de caractères
physiquement parfaits ; des princesses d’une beauté toujours
exceptionnelle et des princes beaux comme des dieux. On dit de ces
personnages qu’ils sont plutôt des caractères, car ils n’ont aucune
profondeur psychologique, les demoiselles sont gentilles et douces et
les messieurs sont braves et n’ont peur de rien. Dans le conte, on n’a
pas besoin d’approfondir la psychologie des personnages, car son intérêt
est centré sur l’action avant tout et sur le merveilleux. Ainsi, il y a
les bons qui gagnent et les méchants qui perdent toujours.
• Bref, on peut résumer les caractéristiques du conte dans ces sept points :
- Le conte est une pure fiction ( il n'est pas issu de la réalité).
- L'action se déroule toujours dans un passé lointain.
- Les héros sont différents de nous; ils accomplissent des exploits que les humains ne peuvent pas accomplir.
- Il y a la
présence du surréalisme, du merveilleux (représentations du diable, fantômes...).
- Le dénouement est heureux.
- Il y a souvent une morale à la fin.
- Le conte apparaît comme le miroir de l'homme; il dévoile ses défauts et ses haines, mais il dit la force de ses idéaux.
4. Quelques noms de conteurs
-J.& W. Grimm (1785-1863 pour Jacob et 1786-1859 pour Wilhelm,
écrivains allemands), les Contes.
- Honoré de Balzac (1799-1850), Contes drolatiques.
-Nathaniel Hawthorne (1804-1864, écrivain américain), Contes.
-H.C. Andersen (1805-1875, écrivain danois), Contes.
-Mark Twain (1835-1910, écrivain américain), Contes, les Aventures de Tom Sawyer.
-Mille et Un contes, récits et légendes arabes (publié en 1924-26 par R. Basset).
-Jacques Ferron (1921-1985, écrivain québécois), Contes du pays incertain.
C/ Le Roman
1. Définition
Le roman est un genre littéraire aux contours flous caractérisé pour
l'essentiel par une narration fictionnelle plus ou moins longue, ce qui
le distingue de la nouvelle. La place importante faite à l'imaginaire
transparaît dans certaines expressions comme « C'est du roman ! » ou
dans certaines acceptions de l'adjectif « romanesque » qui renvoient à
l'extraordinaire des personnages, des situations ou de l'intrigue.
2. Histoire
Le roman s'est progressivement installé depuis le XVIIIe siècle comme un
genre dominant dans la littérature occidentale en corrélation avec le
développement de la notion d'individu et une réflexion non religieuse
sur le sens de la vie et de l'Histoire et aussi avec la généralisation
de l'apprentissage de la lecture par l'école et la diffusion imprimée.
Au fil des derniers siècles, le roman est devenu le genre littéraire
dominant avec une multiplicité de sous-genres qui soulignent son
caractère polymorphe.
3. Caractéristiques
- De manière synthétique et générale, on peut dire que le
********************************e romanesque est un récit de taille très
variable mais assez long.
- Le cadre est
précis
- les actions sont vraisemblables
- Comme la nouvelle, la fin du roman est généralement ouverte
- Le roman est centré sur plusieurs événements.
- Dans le roman, on trouve un grand nombre de personnages
V) L’écriture et la lecture
A/ L’Ecriture
1. L’écriture littéraire
L'écriture est pour l'écrivain le moyen de transmettre un récit, une
intrigue, une de************************************************ion, un
portrait, un sentiment, une émotion.
C'est aussi le moyen de créer sa propre langue. Chaque écrivain possède
son style, sa manière de construire l'histoire, de construire les
phrases, d'utiliser les mots. Chacun utilise, autant qu'il crée, ses
techniques d'écriture.
L'écriture littéraire a pour but (désiré ou non) de se retrouver dans
l'univers social, d'être publié, même si certains, comme Louis Aragon
disent :
« L’écriture [avait été inventée] pour fixer, bien plutôt que des idées pour les autres, des choses pour soi. »
— Aragon, Je n'ai jamais appris à écrire ou les Incipit, 1969
L'écriture littéraire obéit aux normes de l'orthographe et de la
grammaire, mais aussi de la rhétorique, de la poétique. L'écrivain
utilise des techniques d'écriture, outils de langages qui lui permettent
de se façonner un style, et il s'autorise également des licences
poétiques, des digressions, des néologismes, de manière à appuyer son
discours, à rendre esthétique sa prose. C'est ainsi qu'il se différencie
et devient artiste.
2. L’écriture ****************************************************************aire
L’écriture peut également être
****************************************************************aire ou
informative : c’est alors une volonté de transmettre sa culture, son
savoir-faire, ses analyses ou même ses impressions. Le lecteur y
cherchera une source de culture dans laquelle il puisera volontiers,
mais aussi des points de vue différents sur diverses choses qui lui
permettront de se forger une opinion ; quoi qu’il en soit, cette
écriture-ci est une forme de conseil ou d’aide.
3. L’écriture journalistique
Le journalisme est l'activité qui consiste à collecter, rassembler,
vérifier et commenter des faits pour les porter à l'attention du public à
travers les médias.
L’écriture dite « journalistique » se veut à la fois attractive et
rigoureuse. Elle se doit d’être efficace et communicante. Elle doit donc
tenir compte du con********************************e de lecture.
B/ La Lecture
1. Définition de la lecture
- la lecture est l’activité de compréhension de l’information écrite.
Cette information est en général une représentation du langage sous
forme des symboles identifiables par la vue, ou par le toucher
(Braille). D’autres types de lecture ne s’appuient pas sur le langage
par exemple celle de partitions de musique ou de pictogrammes.
- Cette lecture est donc en relation avec l’écriture ; on lit toujours
de l’écrit (on lit les journaux, les ouvrages, les livres de référence,
etc.)
- La lecture est donc un moyen pour s’informer de tout ce qui concerne
l’homme (santé, loisirs, éducation, actualités…) et elle est sans doute
indispensable à la vie de l’être humain.
2. Pourquoi la lecture?
- Lire c’est comme respirer.
- Il y a sans doute autant de raisons que de lecteurs pour aimer la
lecture ; certains y trouvent l’oubli ou le départ d’une promenade dans
un autre monde plein d’aventures, d’autres y trouvent l’enrichissement
culturel et littéraire ou le divertissement favori.
- Nous pratiquons la lecture dans des endroits aussi variés que divers.
- Daniel Pennac dit :
« L’homme construit des maisons parce qu’il est vivant, mais il écrit
des livres parce qu’il se sait mortel. Il habite en bandes parce qu’il
est grégaire, mais il lit parce qu’il se sait seul. Cette lecture lui
est aussi une compagnie qui ne prend la place d’aucune autre, mais
qu’aucune autre compagnie ne saurait remplacer. Elle ne lui offre aucune
explication définitive sur son destin mais tisse un réseau de
connivences entre la vie et lui. Infimes et secrétes connivences qui
disent le paradoxal bonheur de vivre alors même qu’elles éclairent
l’absurdité tragique de la vie. En sorte que nos raisons de lire sont
aussi étranges que nos raisons de vivre. Et nul n’est mandaté pour nous
réclamer des comptes sur cette intimité là. »
---Extrait du livre ‘ COMME UN ROMAN ‘de Daniel Pennac
- La lecture est le meilleur ami de l’homme, et cet ami est le compagnon que personne ne peut le remplacer.
3. Citations sur la lecture
- La lecture est au seuil de la vie spirituelle ; elle peut nous y introduire : elle ne la constitue pas.
- La lecture est une amitié.
- Il semble que le goût des livres croisse avec l’intelligence.
-Marcel PROUST
- Chaque lecture est un acte de résistance. Une lecture bien menée sauve de tout, y compris de soi-même.
- Le temps de lire, comme le temps d’aimer, dilate le temps de vivre.
Daniel PENNAC
- Qui que vous soyez qui voulez cultiver, vivifiez, édifiez, attendrir, apaiser, mettez des livres partout.
Victor HUGO
- La lecture est la ******************************** de l’art d’écrire.
Antoine ALBALAT
- La lecture est un art, et tout le monde n’est pas un artiste.
Madeleine Chapsal
- La lecture, une porte ouverte sur un monde enchanté.
François MAURIAC
- La lecture agrandit l’âme, et un ami éclairé la console.
Voltaire
- Chacune de nos lectures laisse une graine qui germe.
Jules RENARD